Au cours de l’année écoulée, la résilience des chauffeurs et leur engagement sans faille au service de nos villes nous ont tous marqués et impressionnés. Du transport de dizaines de milliers de travailleurs de première ligne, aux déplacements des seniors vers les centres de vaccination, les chauffeurs ont répondu et continuent de répondre présents. Il en va de même pour les livreurs de repas et produits du quotidien à domicile. Plus largement, c’est l’ensemble des travailleurs de plateformes qui a participé à l’effort collectif, en assurant des services essentiels de livraison, en prêtant main forte au système de santé, ou en assurant des missions de garde d’enfants.

Chez Uber et Uber Eats, nous nous sommes mobilisés pour soutenir les chauffeurs et livreurs indépendants qui utilisent notre application que ce soit pour générer des revenus réguliers ou d’appoint. Nous avons mis à leur disposition plus de 8 millions d’euros d’aide financière à travers l’Europe et leur avons distribué du matériel de protection. 

Au-delà de ces initiatives, j’ai souhaité aller à la rencontre des chauffeurs pour comprendre leurs attentes et aussi discuter franchement de leurs frustrations. A l’automne dernier, j’ai échangé avec des centaines de chauffeurs qui tous m’ont dit leur attachement à leur indépendance et la flexibilité permise par l’application mais également leur besoin d’avoir des interactions de meilleure qualité avec nous et leurs craintes liées à la situation sanitaire et son impact négatif notamment, sur leurs revenus.

La semaine dernière, j’ai annoncé aux chauffeurs des améliorations concrètes de leurs conditions de travail avec Uber : plus de contrôle sur les prix avec la capacité de fixer eux-mêmes manuellement leur tarification, plus de protection avec un accès élargi à la couverture ‘Protection Partenaire‘ avec Axa sans distinction d’âge, plus de solutions pour financer leur activité avec un prêt à taux zéro avec l’Adie*. Et enfin, plus de support avec un service téléphonique disponible 24h/24h. Nous allons aussi prendre nos responsabilités : lorsqu’un chauffeur ne peut pas accéder à notre application à cause de lenteurs de notre côté, nous compenserons la perte de revenus.

Nous pouvons faire encore mieux. Et pour cela, je suis convaincue que tous ensembles – plateformes, décideurs publics, représentants des indépendants – nous devons bâtir de nouveaux cadres, de nouvelles modalités de dialogue social, pour répondre aux aspirations fortes qui s’expriment parmi les travailleurs indépendants des plateformes. A une écrasante majorité, ils nous disent vouloir concilier la flexibilité de choisir quand, comment et où ils travaillent, avec une meilleure protection de leur santé et de leurs revenus.

Avançons ensemble sur cette nouvelle voie pour les indépendants de plateforme. C’est tout le sens de l’appel lancé par Uber en Europe : “A Better Deal”. 

 

*Offre soumise à conditions. L’accompagnement dans l’obtention des offres de financement est proposé par l’Adie. Uber n’est pas un prestataire de services bancaires et ne peut vous conseiller en matière d’opérations de crédit.