Les années 2020 et 2021 occuperont certainement une page importante de notre histoire contemporaine. Autant individuellement que collectivement, nous faisons preuve de beaucoup de résilience. Plusieurs ont saisi l’occasion pour se questionner sur la meilleure façon de bâtir l’avenir.

Il y a une opportunité à saisir pour poser les bases d’une économie plus verte. Il s’agit d’un objectif à long terme, mais pour y arriver il faut commencer dès aujourd’hui avec des gestes concrets. Les différents paliers de gouvernement ont d’ailleurs récemment rendus publics leurs plans d’action en ce sens, que ce soit le Gouvernement du Québec avec son Plan pour une économie verte 2030, la Ville de Montréal avec son Plan climat 2020-2030 ou encore le Gouvernement du Canada avec son plan nommé Un environnement sain et une économie saine.

Le secteur des transports routier est responsable pour environ 35 % de toutes les émissions de GES au Québec. C’est simple, il faut faire mieux. Il y a notamment deux solutions pour réduire ces émissions de GES: avoir plus de véhicules hybrides et électriques sur nos routes et encourager plus de citoyens à utiliser le transport en commun. Uber s’engage à travailler en collaboration avec les acteurs montréalais et québécois dans ces deux directions. 

Pour obtenir des résultats concrets et répondre à nos ambitions, il faut d’abord s’assurer de se donner les moyens d’y parvenir. Le gouvernement québécois a fait de l’électrification des transports une priorité avec une cible de 1,5 millions de véhicules électriques sur les routes du Québec en 2030. Le Québec est déjà le leader canadien pour le nombre de véhicules électriques et des gestes ont été posés, dont notamment l’incitatif financier à l’achat des véhicules, pour poursuivre sur cette voie.  

Ensuite, serait-il réaliste de demander à tous les Québécois d’abandonner leurs voitures? Bien sûr que non, et il faut respecter la réalité de tous et chacun. Pour certains, c’est la nature de leur travail, alors que pour d’autres c’est le lieu de leur résidence qui leur exige de détenir un véhicule. Par contre, certains ont la possibilité de réduire l’utilisation de leur voiture, mais ne sont pas toujours satisfaits de l’offre de service de transport actuel. C’est notre responsabilité, à nous tous dans l’industrie, d’être à l’écoute des utilisateurs et d’innover en conséquence afin de leur proposer un service et des produits qui répondent à leurs besoins. L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) vient d’ailleurs de conclure une consultation à ce sujet.

En lançant Uber Vert à Montréal et à Québec, il sera désormais possible de commander spécifiquement une voiture hybride ou entièrement électrique pour réaliser ses courses. Les transports publics font également partie intégrante de la route vers le zéro émission. Alors que les communautés vont se remettre sur pied et que les Montréalais et les Québécois recommenceront à se déplacer davantage, il faut que toute l’industrie collabore pour éviter le retour à la congestion des routes et à la pollution.  Dans la région de Montréal, l’alternative de transport public est maintenant affichée comme une option dans l’application Uber.

Nous avons tous un rôle à jouer, c’est une responsabilité partagée. En tant que plus grande plateforme de mobilité au monde, il est de notre devoir de s’attaquer de manière plus agressive au défi du changement climatique. Nous voulons faire notre part pour mieux reconstruire et développer une reprise verte.