Please enable Javascript
Passer au contenu principal

Faire aller Toronto de l'avant

Nous en avons fait du chemin depuis notre première course à Toronto en 2012. Aujourd'hui, nous travaillons à devenir une plateforme de mobilité zéro émission en posant des gestes pour améliorer la vie des chauffeurs et en coopérant avec TUAC Canada, le plus gros syndicat du secteur privé au pays.

Certains de ces efforts sont passés inaperçus, et c'est la source de certains malentendus à propos de la mission et de l'impact d'Uber. Il est important pour nous de remettre les pendules à l'heure avec quelques faits sur ce que nous faisons pour soutenir les passagers, les chauffeurs et les communautés et pour les mettre en contact.

Nous voulons déboulonner quelques mythes pour exposer les changements positifs de notre mission

Uber a 52 000 chauffeurs sur la route en même temps


Même s'il y a 52 000 chauffeurs de covoiturage avec un permis de la Ville de Toronto, seul un faible pourcentage d'entre eux sont sur la route en même temps. Selon les données d'Uber de juillet à septembre 2023, seulement 7 % des chauffeurs étaient sur la route à une heure donnée, avec seulement 13 % d'entre eux en ligne pendant les heures de pointe. Les chauffeurs apprécient la flexibilité qu'offre Uber et choisissent de conduire quand ils veulent et où ils veulent.

Les chauffeurs ne gagnent pas beaucoup d'argent

En novembre 2023, le revenu médian était de 33,35 $ de l'heure pour le temps passé à conduire à Toronto. Uber et TUAC Canada font pression sur les gouvernements provinciaux pour la mise en place d'une norme de revenu minimum de 120 %. L'Ontario adoptera une norme de revenu minimum de 100 % plus tard cette année, ce qui est déjà un pas dans la bonne direction.

Uber est contre les syndicats

En 2022, Uber et TUAC Canada ont annoncé une entente sans précédent pour la représentation et la défense des intérêts de tous les chauffeurs et livreurs. TUAC Canada peuvent fournir des services de représentation aux chauffeurs et livreurs confrontés à un problème de compte ou à une désactivation. Uber et TUAC Canada font des pressions pour en arriver à réformes aux lois provinciales pour mieux protéger la flexibilité des chauffeurs tout en assurant des avantages comme une norme de revenu minimum.

Uber pollue les villes

Uber s'est engagé à devenir une plateforme zéro émission au Canada d'ici 2030 et dans le reste du monde d'ici 2040. Pour y arriver, Uber s'affaire à assurer une transition équitable pour les chauffeurs grâce à des partenariats avec différentes entreprises qui offrent une aide d'experts, des promotions et des réductions. Aujourd'hui, les chauffeurs qui utilisent l'app Uber au Canada et aux États-Unis passent aux véhicules électriques sept fois plus vite que la moyenne des chauffeurs de ces deux pays.

Uber fait mal au transport en commun

Tous les jours, Uber aide les Canadiens à faire des choix plus écologiques. Près de la moitié (49 %) des passagers qui utilisent Uber au Canada, et 56 % des passagers à Toronto,ont indiqué utiliser Uber pour relier le premier et le dernier kilomètre aux stations de transport en commun.

Uber cause des embouteillages

L'analyse de la Ville de Toronto a démontré que le covoiturage ne compte que pour 3,3 % de la circulation totale et pour 8 % à 14 % de la circulation au centre-ville. L'étude a aussi montré que l'auto solo n'est plus aussi nécessaire quand il y a du covoiturage. Selon Public First, 33 % des passagers canadiens qui ont un permis, mais qui ne possèdent pas de voiture disent que l'accès à des services de covoiturage comme Uber a joué un rôle très important ou assez important dans leur décision de pas acheter de voiture.

Nous savons qu'il y a encore du travail à faire, mais nous sommes fiers du chemin parcouru jusqu'à aujourd'hui. Tout en allant de l'avant pour servir Toronto, nous poursuivrons notre mission d'améliorer la façon dont le monde se déplace.