Que vous démarriez comme chauffeur VTC ou que votre expérience vous ait déjà montré que certains mois étaient plus rentables que d’autres, nous vous avons compilé ici tout ce que vous devriez savoir sur la rentabilité saisonnière, que ce soit dans les grandes villes comme dans celles qui bénéficient de flots touristiques ou d’événements particuliers.
Tout d’abord, sachez que ces dernières années, les périodes qui ont vu le plus de demandes de courses sont juin, juillet, septembre, début et octobre et début décembre. Et qui dit demande dit rentabilité !
Ainsi, à Paris, les trois périodes où les demandes de courses tendent à être les plus importantes correspondent au début de l’été (de début juin à mi-juillet), à la rentrée des classes (de fin août à mi-octobre) et à l’approche des fêtes de fin d’année (les 3 premières semaines de décembre, jusqu’au début des vacances).
Paris bénéficie également de pics liés à des évènements récurrents, tels que les fashion week, ou spécifiques, comme les rencontres sportives. En revanche, la capitale peut subir des périodes plus calmes, comme celles liées aux départs en week-end pendant les ponts de mai.
Dans d’autres villes, la saisonnalité est un peu différente. Ainsi, les villes du sud comme Nice, Marseille ou encore Montpellier sont des villes très saisonnières, avec une forte demande pendant les vacances d’été. Certains évènements estivaux annuels de la région peuvent également faire augmenter la demande : le festival de Cannes, les fêtes de Bayonne ou encore le festival d’Avignon.
Grenoble est également une ville à la rentabilité saisonnière : la demande y augmente en février et mars, pendant la période des sports d’hiver.
Enfin, une ville comme Lyon est moins sujette à la saisonnalité. Cela ne l’empêche pas de ponctuellement recevoir de fortes demandes, comme fin mai pendant le festival Nuits Sonores.
Vous souhaitez creuser le sujet ? Nous vous recommandons d’écouter le podcast ci-dessous.
Ces conseils s’appuient sur les données des dernières années et ne peuvent prédire ou garantir les revenus que vous allez générer à l’avenir.
Nous vous rappelons qu’en tant que chauffeur VTC, vous ne pouvez ni prendre en charge un client sur la voie publique, sauf si vous justifiez d’une réservation préalable, ni vous arrêter, stationner ou circuler sur la voie publique en quête de clients. La prise en charge immédiate sur la voie publique est réservée aux taxis. En fin de course, tout chauffeur VTC est tenu de retourner à son lieu d’établissement ou dans un lieu, hors de la chaussée, où le stationnement est autorisé (tel qu’un parking hors de la voie publique). Conformément à la loi, vous pouvez cependant accepter une nouvelle réservation lorsque vous êtes en chemin vers ce parking ou votre lieu d’établissement.
Publié par Uber Editor
Commandez une course lorsque vous en avez besoin
Commencez à générer des revenus dans votre ville
Commandez une course lorsque vous en avez besoin
Commencez à générer des revenus dans votre ville
Articles connexes
Les plus populaires
Comment optimiser la gestion des déplacements professionnels ? 4 exemples concrets
Plateforme de gestion des déplacements professionnels : simplifier les déplacements, du Travel Manager au collaborateur
Les KPI essentiels pour mesurer l’efficacité d’un programme de mobilité en entreprise en 2025
SAP Concur & Uber for Business, un partenariat fort pour des voyages d’affaires fluides
Produits
Entreprise