La mission d’Uber, c’est de révolutionner les transports grâce à la technologie, et de contribuer à la transformation des villes d’aujourd’hui en villes de demain. Des villes où chacun pourra accéder à un moyen de transport fiable, sûr et abordable. Des villes moins congestionnées et plus modernes. Depuis l’arrivée d’Uber à Genève, de nombreux obstacles se sont opposés à cet objectif, mais la situation est en passe de changer.  D’ici peu, le Grand Conseil sera appelé à  voter un projet de loi sur la mobilité de demain dans le canton de Genève. Ce vote, s’il aboutit, marquera la fin d’un long processus de discussion entre tous les acteurs du secteur et les parlementaires, et aussi le début d’une nouvelle ère pour les Genevois.

Une nouvelle ère parce que cette loi sur la mobilité va permettre à tous les Genevois de se déplacer plus facilement, à des prix abordables ; il y aura enfin plusieurs offres de mobilité disponibles, à la portée de tous, pour que chacun puisse profiter de la ville. Les monopoles sont presque toujours une mauvaise nouvelle pour les consommateurs : ils entretiennent la pénurie, une mauvaise qualité de service, l’absence de choix pour les usagers, et des prix très élevés. Depuis des décennies, le marché de la mobilité à Genève souffre de cette situation ; Uber est arrivée à Genève en 2014 avec une offre qui au contraire, promeut qualité élevée et prix bas.

Une nouvelle ère parce que les professionnels du transport, les chauffeurs, seront enfin au coeur du système. Il est faux de penser que l’arrivée des nouvelles technologies met en péril l’activité des chauffeurs de taxi – bien au contraire. Les nouvelles applications comme Uber permettent aux chauffeurs professionnels, quels que soient leurs statuts, d’avoir accès à plus de clients, plus facilement, plus rapidement. Parmi ces clients, nombreux sont ceux qui ne sont pas satisfaits du fonctionnement traditionnel des centrales de taxis. Cette nouvelle loi, c’est aussi et surtout la promesse d’un marché en croissance pour les chauffeurs professionnels, taxis ou VTCs.

Une nouvelle ère pour Genève, aussi. L’époque où chacun devait acheter son propre véhicule pour pouvoir se déplacer à sa convenance s’achève. Trop chère et inutilisée 96% du temps, la voiture individuelle n’offre pas une réponse satisfaisante à la question de la mobilité urbaine. La nouvelle loi permettra à Genève de se doter d’un réseau efficace de voitures partagées : il sera possible de commander une voiture avec son smartphone en deux minutes, et ce, n’importe où et à n’importe quelle heure, pour un prix abordable. C’est ainsi l’idée d’une ville plus verte, plus moderne et beaucoup moins congestionnée qui se dessine.

Uber soutient le projet de loi Maudet sur la mobilité et nous sommes décidés à expliquer pourquoi en toute transparence. Parce que ce projet de loi engage bien plus qu’Uber, bien plus que les taxis ; il dessine en creux la ville de demain, la Genève du XXIème siècle, ouverte, prospère et accueillante.  Ce texte n’est pas encore parfait ; pour l’améliorer, nous avons participé au processus démocratique de discussion de la loi, à la demande de la commission des transports du Grand Conseil. Nous avons ainsi eu l’occasion de présenter Uber et de faire part de nos propositions.

Genève a rendez-vous avec son avenir : ne laissons pas passer cette occasion.

#GEvoteUBER

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